La traduction a été et sera toujours un sujet d’attraction, une opération intellectuelle divertissante mais risquée. Celui qui décide de se lancer dans l’aventure s’efforce de rendre une idée brouillée, par des difficultés linguistiques et autres, dans la langue d’un récepteur, jusque- là ignorant du message qui lui est adressé. La traduction est un moyen de transmettre la culture, de diffuser les idées et d’élucider des messages cryptés. Afin d’éclaircir les idées, le traducteur se lance dans l’inconnu en bravant toutes les difficultés. Les difficultés émanent de la nature même de cette activité. La traduction, n’est pas une opération fondée sur la maîtrise de deux langues ou plus, seulement. La traduction est un vaste chantier de construction ou plutôt, de reconstruction d’où surgissent les problèmes qui y sont liées. Comme susmentionné, la traduction nécessite toute une gamme de compétences : c’est un puzzle dont les pièces doivent être mises en place, si non les pièces mal placées nuiront à la vue d’ensemble. Parmi les notions qui servent à expliquer cette aporie, la lecture active, la prise de notes, et la recherche documentaire. La présente recherche a, donc, pour objectif de mettre en exergue cette démarche, dans une tentative de baliser le chemin du traducteur.
Abou-zeid, R. (2024). La traduction: entreprise intellectuelle spontanée ou appliquée. Beni-Suef University International Journal of Humanities and Social Sciences, 6(2), 5-30. doi: 10.21608/buijhs.2023.144293.1107
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Rawda Y Abou-zeid. "La traduction: entreprise intellectuelle spontanée ou appliquée", Beni-Suef University International Journal of Humanities and Social Sciences, 6, 2, 2024, 5-30. doi: 10.21608/buijhs.2023.144293.1107
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Abou-zeid, R. (2024). 'La traduction: entreprise intellectuelle spontanée ou appliquée', Beni-Suef University International Journal of Humanities and Social Sciences, 6(2), pp. 5-30. doi: 10.21608/buijhs.2023.144293.1107
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Abou-zeid, R. La traduction: entreprise intellectuelle spontanée ou appliquée. Beni-Suef University International Journal of Humanities and Social Sciences, 2024; 6(2): 5-30. doi: 10.21608/buijhs.2023.144293.1107